  |
| Auteurs | Lahoz-Quilez, Nadine (Auteur) |
| Edition | Immédiats , 2025 |
| Collation | 12 p. |
| Format | 18 cm |
| Langue d'édition | français |
| Sujets | Art contemporain Installation dans l'espace Perles Sculpture contemporaine Verre : Dans l'art Verre contemporain Membrane Verre brisé Art et corps Fusain |
| Nombre de réservation(s) actuelle(s) : 0 | |
|
Contient :
Corps objets et corps supports – corps traversé, corps interprété, dévoilé, corps meurtri, disséqué, disparu – dedans, dehors, autour de lui. Par des points d’entrée multiples : l’enveloppe, le tatouage, la pilosité, les tissus conjonctifs, les membranes… je ne cesse de l’interroger. C’est par des focus que j’aborde l’intimité du corps. Dans ses plis et replis, je tente de révéler ce que nous avons de plus indicible. Il est un organisme complexe qui absorbe et restitue du vivant pour se pérenniser. Comprendre ce qui nous constitue et ce qui nous anime c’est permettre une reconsidération de ce qui nous traverse. Le corps, espace mémoriel, procède par porosités. Parcourir ce territoire du vivant organisé produit un cheminement à travers les interstices de nos mémoires émotionnelles. Il invite à un état de réception pour affiner la perception de ce qui nous environne.
Corps objets et corps supports – corps traversé, corps interprété, dévoilé, corps meurtri, disséqué, disparu – dedans, dehors, autour de lui. Par des points d’entrée multiples : l’enveloppe, le tatouage, la pilosité, les tissus conjonctifs, les membranes… je ne cesse de l’interroger. C’est par des focus que j’aborde l’intimité du corps. Dans ses plis et replis, je tente de révéler ce que nous avons de plus indicible. Il est un organisme complexe qui absorbe et restitue du vivant pour se pérenniser. Comprendre ce qui nous constitue et ce qui nous anime c’est permettre une reconsidération de ce qui nous traverse. Le corps, espace mémoriel, procède par porosités. Parcourir ce territoire du vivant organisé produit un cheminement à travers les interstices de nos mémoires émotionnelles. Il invite à un état de réception pour affiner la perception de ce qui nous environne.
L’espace du dehors procède par irrigation et empreinte pour constituer notre singularité. Cette singularité se constitue aussi sur du commun, une existence collective. Le corps est un espace de résonance. Une démarche intéroceptive et proprioceptive induit une reconsidération des rapports à soi, aux autres et au monde.
Nadine Lahoz-Quilez
Connectez-vous pour poster un commentaire